Eh oui ! Il parait que c’est la testostérone qui se cache derrière la crise économique dont on a tous souffert d’une façon ou d’une autre.
Ce n’est pas une blague, il y a effectivement une étude très sérieuse qui analyse cette thèse.
Des chercheurs tout ce qu’il a de plus sérieux, membre de la prestigieuse université britannique de Cambridge, sont allés prélever la salive des traders –des hommes à 92%- dans les salles de marché du Royaume Uni. Ils ont ensuite mesuré leur testostérone, au centième de millimètre cube près. Conclusion ? Les taux grimpent avec les prises des risques et les gains financiers.
Ne pouvant plus déverser son trop-plein d’hormones mâles dans la guerre ou la chasse, la gent masculine des temps modernes aurait ainsi trouvé dans les marchés financiers un nouveau terrain de conquête.
Melle5er, « si Lehman Brothers s’était appelé Lehman Sisters, il n’y aurait jamais eu de crise… »
On est même passé à l’action vers l’établissement d’un capitalisme féminin : « s’inspirant de l’exemple des quotas mis en place en Norvège, une proposition de loi (en France) veut imposer aux 650 entreprises cotées une proportion de 20% de femmes dans leurs plus hautes instances managériales d’ici à 2013, et de 40% d’ici à 2016, sous peine d’entraîner la nullité des nominations !!
Des sociétés comme Air Liquide, Renault, BNP Paribas, Schneider, Total ou PSA affichent désormais des objectifs chiffrés de femmes dans l’encadrement.
Personnellement, je suis très d’accord avec l’idée :))
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